Ouvert aux visiteurs tous les jours, le parc est, comme le château, propriété du conseil départemental de l'Aude. Un endroit agréable où se promener.
Ouvert aux visiteurs tous les jours, le parc est, comme le château, propriété du conseil départemental de l'Aude.
Au XIXe siècle, le propriétaire des lieux, Gustave d’Ouvrier, désireux d’agrandir le parc du château, obtint l’autorisation de détourner le cours de la rivière La Clamoux qui longeait la terrasse du château. Les terres arables récupérées furent engazonnées et décorées de fleurs et d’arbres. Seul témoin de son ancien tracé, le petit pont à deux arche, d’origine médiévale, qui attire toujours la curiosité du visiteur.
C’est au XVIe que le château a pris l’aspect général qu’on lui connaît aujourd’hui. Entièrement repris et doublé d’un avant-corps saillant au XIXe siècle. En haut de la lucarne, en façade, un fronton aux armes de l’ancien propriétaire.
A noter que le parc du château est depuis trois ans considéré comme un “refuge” LPO (Ligue de protection des oiseaux) : abris à oiseaux, plantation de multiples plantes mellifères et nourricières…
Au XIXe siècle, le propriétaire des lieux, Gustave d’Ouvrier, désireux d’agrandir le parc du château, obtint l’autorisation de détourner le cours de la rivière La Clamoux qui longeait la terrasse du château. Les terres arables récupérées furent engazonnées et décorées de fleurs et d’arbres. Seul témoin de son ancien tracé, le petit pont à deux arche, d’origine médiévale, qui attire toujours la curiosité du visiteur.
C’est au XVIe que le château a pris l’aspect général qu’on lui connaît aujourd’hui. Entièrement repris et doublé d’un avant-corps saillant au XIXe siècle. En haut de la lucarne, en façade, un fronton aux armes de l’ancien propriétaire.
A noter que le parc du château est depuis trois ans considéré comme un “refuge” LPO (Ligue de protection des oiseaux) : abris à oiseaux, plantation de multiples plantes mellifères et nourricières…