15mars15juin2025
EXPOSITION : LES OISEAUX, SIGNES D’ÉCRITURE DANS L’EGYPTE ANCIENNE
Le vendredi 04 avril
MUSEE DES ARTS ET METIERS DU LIVRE 39 RUE DE LA MAIRIE 11170 MONTOLIEU
L'exposition conçue par Rina Viers sensibilise les jeunes à la beauté et au rôle des oiseaux dans l’écosystème, en s’inspirant de leur représentation dans l’écriture de l’Égypte antique. Elle vise à éveiller leur curiosité et à encourager leur observation avant que certaines espèces ne disparaissent.
Une exposition conçue par Rina Viers, présidente de l’association Alphabets · Graphisme : Marie Castegnier
Dans les textes du Nouvel Empire, une cinquantaine d’oiseaux différents sont utilisés comme signes d’écriture. Les jeunes d’aujourd’hui ne connaissent pas beaucoup de noms d’oiseaux. Il faut donc les encourager à les observer et à apprendre leurs noms avant que plusieurs d’entre eux ne disparaissent, hélas. Cette exposition a pour but de sensibiliser les jeunes à la beauté des oiseaux, à leur comportement, à leur fonction dans l’écosystème, en partant de l’observation des Égyptiens qui les admiraient et les connaissaient bien au point de les représenter dans leur écriture, et parfois le même oiseau sous des aspects différents.
« L’Égypte est un pays d’oiseaux aquatiques. Durant la saison migratoire les lagons du delta du Nil, les rives plantées de roseaux du Fayoum, les canaux, les mares et les champs inondés sont couverts de milliers d’oiseaux aquatiques : des ibis, des pélicans, des cormorans, des hérons de toutes sortes, des flamants roses, des canards et des oies. » Herman Kees
Dans les textes du Nouvel Empire, une cinquantaine d’oiseaux différents sont utilisés comme signes d’écriture. Les jeunes d’aujourd’hui ne connaissent pas beaucoup de noms d’oiseaux. Il faut donc les encourager à les observer et à apprendre leurs noms avant que plusieurs d’entre eux ne disparaissent, hélas. Cette exposition a pour but de sensibiliser les jeunes à la beauté des oiseaux, à leur comportement, à leur fonction dans l’écosystème, en partant de l’observation des Égyptiens qui les admiraient et les connaissaient bien au point de les représenter dans leur écriture, et parfois le même oiseau sous des aspects différents.
« L’Égypte est un pays d’oiseaux aquatiques. Durant la saison migratoire les lagons du delta du Nil, les rives plantées de roseaux du Fayoum, les canaux, les mares et les champs inondés sont couverts de milliers d’oiseaux aquatiques : des ibis, des pélicans, des cormorans, des hérons de toutes sortes, des flamants roses, des canards et des oies. » Herman Kees
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